La littérature a beaucoup de vertus. Au-delà de l’effort d’imagination et de l’exercice de lecture, c’est aussi un miroir des diversités humaines incarnées dans les personnages et des phénomènes de société. Nous allons voir que la littérature n’est pas un simple phénomène de divertissement, c’est aussi un excellent moyen d’éduquer sur différents sujets, notamment celui de la neurodiversité.
La littérature comme outil d’inclusion et d’éducation
La littérature est un vecteur de communication qui façonne l’imaginaire collectif. Bien souvent, en filigrane des récits, les textes montrent un certain reflet de la société dans laquelle on vit à un instant T. Sur le site https://www.claireriopetit.com/ On trouve des représentations positives des identités neuroatypiques (HPI, dyslexie, TSA, TDAH…). Non seulement cela aide à déconstruire les clichés, mais chaque enfant ou adolescent peut se retrouver dans un personnage et gagner en confiance.
Éveiller à la diversité dès le plus jeune âge
Les livres jeunesse qui mettent en scène des enfants dyslexiques, hypersensibles, ou ayant un TDAH montrent que la différence n’est pas un obstacle, et que chaque identité a vocation à trouver sa place dans le monde. Les textes sont adaptés pour faciliter la lecture aux enfants « dys » pour être lus par tous. Les sujets parlent de la vie au quotidien, de la différence, de l’école ou encore de l’amitié, ce qui permet à chacun de comprendre et de développer de l’empathie.
Développer la visibilité de la neurodiversité
Ce type de récits aident à déconstruire la vision déficitaire de la neurodiversité et à sensibiliser autour des parcours des personnes. Cela favorise une vision plus inclusive, où chaque singularité trouve sa place.
La littérature, en racontant la pluralité des intelligences et des sensibilités humaines, ouvre la voie à une société plus tolérante et consciente. Que ce soit dans un album pour enfants ou dans un roman pour ado, chaque récit contribue à rendre visibles et légitimes les identités neuroatypiques.